Le bureau de Jean-François Roberge est ouvert
Par Myriam Tougas-Dumesnil
POLITIQUE - Le député de Chambly Jean-François Roberge est désormais bien installé dans l'ancien bureau de son prédécesseur, Bertrand Saint-Arnaud.
M. Roberge bénéficiera de l'aide de son équipe, composée de trois personnes. Geneviève Rousseau agira à titre de directrice du bureau de circonscription. Par le passé, elle a occupé des fonctions similaires pour l'ancien député de La Prairie Stéphane Le Bouyonnec. Elle a également œuvré comme bénévole pour l'équipe de François Rebello.
Celui qui était candidat pour la Coalition avenir Québec (CAQ) dans Richelieu cette année, Martin Baller, devient l'attaché politique de Jean-François Roberge. M. Baller a été l'attaché politique du député de Drummond-Bois-Francs, Sébastien Schneeberger, et directeur des relations publiques pour Estrie Enviropôle. Il est aussi connu pour avoir été président de la Chambre de commerce et d'industrie des Sources.
Joindre le député
Le bureau du député de Chambly est situé au 2028, avenue Bourgogne, à Chambly. Il sera ouvert du lundi au jeudi, de 9h à 12h et de 13h30 à 17h, ainsi que le vendredi, de 9h à 12h. Il est possible de joindre Jean-François Roberge et son équipe en composant le 450-658-5452, en écrivant à jean-franç[email protected] ou encore en visitant le bureau de circonscription.
3 commentaires
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Je suis un résident de votre circonscription.
Ce projet de loi constitue la pire atteinte à nos libertés des deux derniers siècles de l’histoire du Québec. À côté de ce projet de loi inique, même la fameuse « Loi du Cadenas » du régime Duplessis semble tout à fait anodine.
Sous le fallacieux prétexte de vouloir s’attaquer à la radicalisation et aux discours terroristes qui endoctrinent des jeunes et les poussent à partir au djihad au Moyen-Orient, le gouvernement de Philippe Couillard s’apprête carrément à piétiner la liberté d’expression de tous les Québécois au nom de la rectitude politique et de la lutte à la soi-disant «islamophobie», un concept inventé par les tenants de l’islam radical pour faire taire toute dissidence et critique.
Pire encore, le projet de loi 59 mettra une arme de choix entre les mains des tenants de l’islam radical (lequel ne se réduit pas au terrorisme car il embrasse tout ce qui relève de la charia), en leur permettant de harceler judiciairement toute personne qui s’opposerait publiquement à eux et à leur discours.
Considérant le fait que les islamistes n’hésitent pas à abuser des tribunaux pour faire avancer leur cause, nous pouvons raisonnablement craindre qu’ils instrumentaliseront le très arbitraire et injuste «Tribunal des droits de la personne» pour faire avancer leur agenda antidémocratique, misogyne, homophobe et suprématiste.
Avec ce projet de loi, le gouvernement Couillard s’apprête à favoriser la persécution et le harcèlement des personnes qui dénoncent et critiquent l’islam radical, en permettant notamment aux islamistes de bâillonner judiciairement nos compatriotes qui résistent à leurs ambitions totalitaires.
Vous me représentez à l’Assemblée nationale du Québec. Votre devoir est de protéger les libertés chèrement acquises grâce aux luttes courageuses et souvent pénibles qu’ont dû mener nos compatriotes qui nous ont précédés.
Si vous votez en faveur du projet de loi 59, vous serez responsable de l’imposition de la pire mesure à l’encontre de nos libertés depuis au moins deux siècles.
Ce projet de loi n’est pas ordinaire ; il n’est ni banal ni anodin. Ses conséquences seraient très graves pour nos libertés. Par conséquent, votre devoir est de voter contre, quitte à aller à l’encontre des lignes de parti.
Votre devoir est de faire preuve du courage nécessaire en rejetant cet odieux projet de loi lorsqu’il sera soumis au vote de l’Assemblée nationale. Sachez que de nombreux Québécois se souviendront de votre vote et que l’histoire vous jugera en conséquence. Et en guise de réponse, merci de ne pas me servir les platitudes officielles cuisinées au cabinet de la ministre de la Justice qui pilote cet infâme projet de loi. Je veux une réponse qui ne se résume pas à d'insipides «talking points». Je veux surtout que vous fassiez preuve du courage moral qui s'impose pour contrer cette attaque sans précédent contre nos libertés fondamentales.